BIJOUX
INSPIRATION
A PROPOS
Le larimar, une variété unique de pectolite bleue, trouve son origine exclusive en République dominicaine et en Italie. Sa différence avec la pectolite est due au remplacement du calcium par du cuivre, ce qui lui donne sa couleur particulière.
La gamme de couleurs du larimar s’étend du blanc éthéré aux profondeurs captivantes du bleu foncé, offrant une palette de nuances éblouissantes. Parmi elles, les larimars les plus prisées dévoilent des tonalités de bleu profond, évoquant l’immensité des océans. Bien que des variantes verdâtres ou rougeâtres existent, elles demeurent moins courantes, mais tout aussi fascinantes, enrichissant la diversité de cette pierre précieuse.
Formé dans les conduits de cheminées de volcans sous l’effet de la pression des gaz, le larimar est surnommé la "turquoise dominicaine" ou le "dauphin de pierre", évoquant son lien avec les eaux océaniques et les légendes marines. On lui donne parfois le nom de pierre de Stefilia, pectolite bleu ou la pierre de l’Atlantis.
La larimar, malgré sa beauté éclatante, est sujette à la décoloration au fil du temps sous l’influence de la lumière. Son éclat initial peut s’estomper progressivement, surtout lorsqu’elle est exposée de manière prolongée à la lumière directe du soleil. Cependant, avec les soins appropriés, cette pierre précieuse peut conserver sa splendeur naturelle pendant de nombreuses années.
L’histoire fascinante du larimar remonte à 1916, lorsque le prêtre Miguel Domingo Fuertes de Loren a découvert cette pierre unique en République dominicaine. Malheureusement, son désir d’exploiter une mine a été initialement refusé par les autorités, qui ne connaissaient pas ce minéral.
Il fallut patienter jusqu’en 1974 pour que le gisement soit enfin redécouvert, et ce n’est qu’en 1976 que les premières activités d’exploitation ont débuté. C’est une histoire digne d’un conte : deux résidents du paisible village de Chupaderos ont été les premiers à apercevoir la pierre bleue étincelante dans les eaux cristallines de la rivière. Animés par la curiosité et l’espoir, ils ont entrepris un voyage le long du cours d’eau, bravant les défis de la nature, pour enfin localiser la source de cette pierre mystérieuse. Le nom "larimar" a été créé par l’un d’eux, qui a combiné une partie du nom de sa fille, Larissa, avec le mot espagnol pour la mer, "mar".
Aujourd’hui, la mine de Los Chupaderos est divisée en deux parties, l’une gouvernementale et l’autre exploitée par la population locale.
La larimar, parfois surnommée la pierre de l’Atlantide, est enveloppée de mystère et d’intrigue, alimentée par les prophéties intrigantes d’Edgar Cayce (1877-1945). Selon ses déclarations, les îles des caraïbes et donc, la République Dominicaine, sont une partie de ce qui fut l’Atlantide… Ce visionnaire aurait prédit environ 30 ans avant la découverte de la larimar qu’une pierre bleue aux vertus de guérison et de communication émergerait des îles des Caraïbes. Selon lui, c’est sur elle que reposait la création de l’Atlantide. Ces affirmations, bien que controversées, ajoutent une dimension fascinante à l’histoire de la larimar et alimentent les spéculations sur ses origines et ses pouvoirs mystiques.
Gisement : République Dominicaine, Italie.
La larimar, réputée pour ses propriétés curatives, offre une gamme variée de bienfaits :
⚠ Veuillez noter que toutes les propriétés curatives présentées pour les pierres sont recueillies auprès de diverses sources. Cette information est fournie à titre de service et ne vise pas à traiter des conditions médicales. Il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour des problèmes médicaux graves et de ne pas utiliser les pierres précieuses comme seul traitement.